Comment établir un diagnostic précis et une prise en charge adaptée face aux douleurs rachidiennes ?
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Les lombalgies représentent 20 % des accidents du travail et 7 % des maladies professionnelles, avec une durée moyenne de deux mois d’arrêt de travail (chiffres de l’INRS).
Les pathologies rachidiennes, telles que la lombalgie, la cervicalgie et la dorsalgie, sont des motifs fréquents de consultation en médecine générale. En raison du vieillissement de la population et du maintien à domicile des patients, les douleurs du rachis deviennent une priorité en termes de prévention et de prise en charge.
Le médecin généraliste est souvent le premier à recevoir la plainte rachidienne d’un patient. Il doit être en mesure de poser un premier diagnostic des pathologies rachidiennes (aiguës ou chroniques) et d’orienter vers un spécialiste si nécessaire.
L’accès difficile aux spécialistes rend cette formation continue indispensable pour maîtriser l’examen clinique du rachis et adapter la prise en charge thérapeutique.
En utilisant un raisonnement clinique rigoureux, le médecin généraliste peut mieux anticiper les risques de dépendance liés à la réduction de mobilité causée par les douleurs rachidiennes.
Formation Démarche diagnostique face à une plainte rachidienne
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Un programme intégré comporte une évaluation des pratiques professionnelles (EPP) en plus de la formation continue (FMC). Il est obligatoire d’en réaliser au moins un au cours de chaque période triennale. Il est indemnisé 45€ de l’heure.
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