Formation Annonce d’une mauvaise nouvelle 

Quelles sont les questions que le médecin doit se poser ou poser à ses patients avant, pendant et après la consultation ?  

Durée

3 heures

Format
E-learning
Financement
fafpm
ou financement personnel

Présentation de la formation

Le saviez-vous ?  

Annoncer une mauvaise nouvelle, notamment une maladie spontanément associée à la mort, tel un cancer, est une démarche toujours délicate pour un médecin généraliste. Confronté à la positivité d’un dépistage de cancer, à un mauvais bilan ou à la réception d’un compte-rendu d’examen anormal, voire péjoratif, le médecin doit s’équiper de compétences en communication médicale et paramédicale pour gérer au mieux cette épreuve. 

Annoncer une mauvaise nouvelle n’est pas sans conséquences pour le patient car elle va certainement profondément modifier le cours de sa vie mais aussi celle de ses proches. 

Le rôle du médecin généraliste  

La capacité du médecin généraliste à disposer des bons outils de communication est cruciale. Ces compétences sont essentielles non seulement pour la phase initiale de l’annonce, mais aussi pour gérer les conséquences de cette nouvelle. Le médecin doit être en mesure de proposer un suivi adapté et personnalisé, garantissant ainsi une gestion complète de la situation. Cette prise en charge comprend l’accompagnement émotionnel du patient et la coordination avec d’autres services médicaux et paramédicaux pour assurer une continuité des soins. 

Cette formation vise à fournir les outils nécessaires pour personnaliser et accompagner efficacement cette annonce, en respectant la sensibilité de chacun et en anticipant les réactions possibles. 

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Certaines pathologies, comme les maladies rénales chroniques, impliquent des étapes cruciales où la communication entre soignant et patient est essentielle. Ces situations nécessitent une approche adaptée pour accompagner les patients dans la compréhension et l’acceptation de leur état.

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Objectifs pédagogiques

Donner aux médecins généralistes et aux professionnels paramédicaux des points de repère concernant leurs patients :

  • Reconnaître les réactions psychologiques des patients : apprenez à identifier et anticiper les réactions psychologiques des patients afin de mieux les accompagner pendant ce moment difficile
  • Utilisation de l’Écoute Active : Employez l’écoute active pour fournir les informations nécessaires de manière rassurante, aidant ainsi les patients et leurs familles à comprendre et à accepter la réalité de la situation.
  • Proposer des Pistes d’Avenir Personnalisées : En fonction du contexte médical et personnel du patient, proposer des pistes d’avenir qui respectent ses besoins et ceux de ses proches.
  • Connaître les Écueils d’une Annonce Mal Réalisée : Sensibilisez-vous aux erreurs courantes à éviter lors de l’annonce d’une mauvaise nouvelle, telles que le manque de préparation ou l’absence de soutien immédiat.

 

FAQ : Formation annonce d’une mauvaise nouvelle 

Quelles compétences sont nécessaires pour annoncer efficacement une mauvaise nouvelle ? 

L’annonce d’une mauvaise nouvelle dans un contexte médical exige des compétences spécifiques pour communiquer de manière claire et empathique. 

Quels sujets sont abordés dans cette formation sur l’annonce d’une mauvaise nouvelle ? 

Cette formation traite de la pédagogie pour annoncer une mauvaise nouvelle, en se concentrant sur les étapes clés et les approches spécifiques dans le contexte médical. Elle permet aux médecins généralistes de bénéficier d’une expérience d’apprentissage approfondie pour améliorer leur gestion des situations difficiles. 

 

Vous voulez aller plus loin ? N’hésitez pas à consulter les formations suivantes : 

Moyens pédagogiques

Expert(s) :

Dr Sylvie Pucheu,

psychologue clinicienne et psychothérapeute de formation analytique, exerce dans le service de psychologie clinique et de psychiatrie et d’oncologie à l’hôpital européen Georges Pompidou, à Paris

Ce que disent nos apprenants de nos formations DPC

Formation Annonce d’une mauvaise nouvelle 

3 heures

Un programme intégré comporte une évaluation des pratiques professionnelles (EPP) en plus de la formation continue (FMC). Il est obligatoire d’en réaliser au moins un au cours de chaque période triennale. Il est indemnisé 45€ de l’heure. 

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